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Cette nuit blanche,
mon Lutin irréel entre en vain
Déposer sur l’étoffe,
une douce mélodie de parfum,
Une fresque alléchante,
un coulis exaltant,
ce dessin.
Une ombre se dessine
les fruits étourdissent,
le festin.
Le pinceau de l’appétit se profile,
Le désir unanime.
Le portrait d’élixir exotique,
Envahit mon chemin.
Le tableau d’un rêve jouissif,
peint,
d’un fantasme Aérien.
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Trouver l'amour et le garder
Les émotions et les affections,
Les deux volcans de l'amour.
Atiser la flamme,
De la passion et
Se réchauffer
Trouver l'amour et le garder
Pleurer,Rire
Épauler ensemble les difficultés,
Avec hardiesse et persévérance,
Partager les merveilles,
Détruire les pires
Trouver l'amour et le garder,
Caresser, chérir,
Son âme sœur, son sauveur,
Mêler les bonheurs,
Tel est le secret bien gardé,
Pour continuer De s'aimer.
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Avec ma chaise j'irai m’asseoir au milieu de l'océan
discuterai avec le vent de mes cris en silence
chanterai à la pluie mes angoisses par moment
parlerai aux poissons de la vie qui m'attend
j'hurlerai aux nuages mon envie très pressante
Avec ma chaise je serai assise au milieu d'un rêve
imaginerai les paroles de mes cris naviguant
danserai sur mes peurs sous la pluie en riant
murmurai aux baleines mes souhaits à présent
j’appellerai l'arc en ciel mon amant au devant
Avec ma chaise je poserai ma valise,
devant le soleil, les cheveux dans le vent
parlerai de ma vie assise sur ma chaise maintenant
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Elle portait sa voix prêcher l'adoration des maux
Souvent parle, En ses deux Saints du renouveau,
Mais diablerie divine qu'ils sont Beaux et Ronds !
Une Déesse trotteuse est à la porte du Temple
Suspendue sur l'arche perdue des apôtres mise au nu
Une diablesse a pénétré notre Monarchie
Elle portait sa foi en prêchant ces mots.
La Tard-Venue est Parvenu à ses Faims.
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Mal à l'oreille d'entendre ces cris de silence
ils chantent mon pain noir vers le quotidien
Mal à l'oeil de regarder ces maux sans parole
Ils sifflent mon café chaque matin si souvent
Mal à la bouche de transpirer ces liens de douleurs
Ils fredonnent mon abime pour mourir lentement
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