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Heureuse à moi
Heureuse à moi ! je ne sais pas écrire
Je ne suis pas le charme des Auteurs
Ma plume n'a pas le ton à qui vient lire
Pour adoucir leurs yeux de créateurs
Ils ne viennent pas , saisir une émotion
Me demandent des sonnets ou contenants
Ils scrutent en vrai mes quelques notions
pour résonner des mots leurs sentiments
Malheur à moi !
Las des parfait écris , sans toucher
Insouciants, ils parlent des poètes
De mes textes d' un fond il faut aimer
Et je n'ai pas l'art que des miettes
Demain, sur ce chemin, sans les accuser
Sans les excuser je vais pardonner
Ils ne vissent simplement que l'ignorée
Bonheur à moi !
je n'ai qu'une âme c'est elle qui m'anime
Sans elle mon Dieu je n'aurai jamais écrit
Par elle je fais passer un ressenti unanime
O mon Dieu donne moi encore ton bel esprit.
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Laissez- Moi Ô s'il vous plaît
Juste un court instant tremper mon coeur émietté dans le pétrole bleu de la nuit
L'alcool mon ami anime mes souvenirs pour un moment
Les douleurs les pleurs les ennuis le gros lot de la vie
Lasisez- moi Ô partir par pitié
Dans l'éternité guérir mon âme opaline dans le ciel blanc de mon vrai paradis
Laissez- moi Ô Mourir
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Lâche tes bombes d'amertumes à une autre souffre douleur
Regarde je ne pleure plus
Hache ton venin de souffre à la prochaine proie de ta peur
Entend je ne cris plus
Frappe tes attaques de chaque jour à la conquête de tes leurres.
Ecoute je ne respire plus
Détale tes sornettes à jamais à la découverte d'un nouveau bonheur
Comprend je ne t'aime plus...
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une ombre en mon âme s'est assise là au bord de ma porte
attendant la clé,
comme le ferait un enfant devant son goûter, innocent
L'esprit de ses veines en mon sang se fige là devant la pendule,
écoutant le silence
comme le ferait un aïeul dans sa chambre, impatient
L'écho de son coeur en mes peines s'émiette impuissant,
pleurant l'absence
Comme le ferait un parent lisant un livre mortuaire incompris.
Alors ne me demandez pas de donner la clé,
L' innocence d'un coeur impatient traverse la route de l'incompris
impuissant dans l'absence il demandera de mourir.
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Assises là à t'attendre,
Tu arrives là prêt de moi
devant le clignement de l'horloge,
café crème main gauche,
cigarette main droite,
le temps souffle ses secondes,
nos regards arretent les minutes
Assise là à penser
A cet instant présent
devant le tambour la trotteuse
arretée
mains dans les mains,
bras enlacés sur le canapé
nous serions nous trouvé?
assise là à sourire
La douceur de tes mots
se noie vole mon esprit
me soulève lentement
me dépose dans le lit
allongée là devant toi
Je te sens sur mon corps
Nos ombres virvoltantes
l'odeur douce du plaisir
transpire de nos murs
allongée là sans comprendre
mon corps adoucit de plaisir
mon coeur assouvit de bonheur
allongée là à entendre
le bruissement des soupirs de nos coeurs
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